Ariane
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton travail au sein de bête féroce?
Ce qui m’anime le plus dans mon travail, c’est de travailler pour des causes qui sont directement liées à mes valeurs. J’aime le sentiment de mettre à profit mon expertise pour contribuer à faire rayonner les voix des communautés qui ont besoin de défendre leurs droits et d’être entendues. Ensemble, nous pouvons construire un monde meilleur!
Café ou thé?
Je bois avec joie une tasse de thé tous les matins, parfois noir, parfois vert. Le thé m’aide à me réveiller et à me concentrer pour mener à bien mes projets. J’adore le café et c’est un véritable crève-cœur que de devoir diminuer ma consommation, mais j’y suis trop sensible et je deviens rapidement une vraie boule de nervosité si j’en bois.
Fun fact à propos de toi
Au secondaire, j’ai gagné une médaille d’or au lancer du javelot lors d’une compétition d’athlétisme de l’Association régionale du sport étudiant de l’île de Montréal. J’ai toujours été férue de sports, ce qui m’a permis de développer mon sentiment de dépassement de soi et d’alimenter ma résilience pour faire face à l’adversité. Encore aujourd’hui je pratique plusieurs sports pour cultiver mon bien-être : yoga, vélo, ski de fond, randonnée, badminton, natation. À bête féroce, mon travail est mon terrain de jeu. Vous verrez peut-être mon petit côté compétitif ressortir !
Ton hack de télétravail préféré?
Comme bête féroce n’a pas de bureaux, nous sommes toutes en télétravail à temps plein. Pour ma part, l’astuce que j’ai trouvé pour veiller à mon équilibre de vie personnel/professionnel est de me créer un emploi du temps structuré et des blocs de travail en dehors de chez moi. Je ne commence jamais le travail avant 8h et ne termine jamais après 18h. Cela semble simple, mais en télétravail la frontière peut facilement devenir floue et envahir la vie personnelle. Sortir de chez moi me permet aussi de changer d’air et de me prévoir des blocs de travail sans rencontres pour me concentrer sur différents projets. Vous aurez peut-être la chance de me croiser deux après-midis par semaine à la bibliothèque ou dans des cafés de Montréal
