Réseau des lesbiennes du Québec

La demande

Organisant annuellement la Journée de visibilité lesbienne (JVL) depuis 2019, le RLQ a approché bête féroce pour réfléchir stratégiquement aux façons d’amplifier l’impact de sa campagne de sensibilisation — Invisibiliser c’est discriminer — et d’augmenter la visibilité de la JVL qui souffle ses 40e bougies.

Ce qui a été réalisé

Identité visuelle de la campagne

Une identité visuelle d’impact a été réalisée par Michèle Fog afin de mettre de l’avant le mot LESBIENNE mais aussi de le cacher à l’aide du texte « invisibiliser c’est discriminer ».

Un document de type « one-pager » a été réalisé. Celui-ci a été envoyé à tous les journalistes approché·e·s en plus d’être rendu disponible en téléchargement sur le site.

www.visibilitélesbienne.ca
Une page web de type one-pager a été réalisée afin de mettre de l’avant la campagne « Invisibiliser c’est discriminer », la définition de lesbophobie, la programmation du 23 avril et le one-pager à l’intention des médias.

Affichage

Quatre versions de l’affiche « Invisibiliser c’est discriminer » ont été réalisées et tapissés dans les rues de Montréal par Publicité sauvage.

Des affiches ont également été envoyées par la poste à près de 200 organismes communautaires partout au Québec.

Placement médias

Des publicités numériques ont été visibles sur les sites web du réseau Québécor du 28 mars au 26 avril. Deux publicités de types Billboard et Double Billboard ont également été affichées en page d’accueil du site du Devoir le 26 avril.

Lettre ouverte

Une lettre ouverte a été rédigée et envoyée au Devoir où elle a été publiée le lundi 25 avril.

Communiqués de presse

Deux communiqués de presse ont été diffusés, le 28 mars pour lancer la campagne et le 23 avril pour souligner la journée québécoise de célébration.

Revue de presse

Les magazines et les blogues ciblés ont été contactés 6 semaines en amont et ont manifesté beaucoup d’intérêt. Les journalistes et les émissions de radio ont été contacté·e·s 4 semaines en amont de la JVL. Cela a généré une couverture variée et nombreuse. À noter qu’il a été très bénéfique de s’y prendre des semaines à l’avance. Le succès des relations médias est certainement attribuable à ce facteur, à la combinaison des contenus offerts entre le premier et le second communiqué, le one-pager informatif et la popularité de la porte-parole Coco Belliveau.